Santa Maria Maggiore ‘Snowfall’

Somewhat peripheral to our purview, but this is one of the basilicas one often is presented with in art history classes … from Rome Reports comes coverage of an interesting annual ritual:

It’s also noteworthy (if you’re relic-obsessed, as I am) as one of the places to find relics of St Jerome and the manger in which Jesus briefly sojourned… but there is a question that has been lingering in my skull for quite a while. Quite a few ‘travel’ websites say the basilica was built on the site of a temple of Cybele … does anyone know of a reliable source for this claim? In the context of this particular video, it’s interesting that showers of rose petals were also assorted with the cult of Cybele (see, e.g., this page from Kirk Summers’ essay in Cybele, Attis and related cults: essays in memory of M.J. Vermaseren … just another one of those ‘things that make you go hmmmm’ …

UPDATE (a few hours later and after reading the comments): further poking around suggests that some discovery was made in the 1990s which has been interpreted by F van Haeperen in various articles as indicating the existence of a sanctuary of Cybele on the site. The primary reference which seems to keep coming up is “Nouvelle proposition d’identification des vestiges découverts sous la basilique Sainte-Marie-Majeure de Rome : un sanctuaire de Cybèle”, Bulletin de l’Institut historique belge de Rome 67 (1997) pp. 65-98

More Marathon Musings

Just became aware of this excellent article by Dr Yannis Galanakis of the Ashmolean on some spearheads purportedly from Marathon:

… adds quite a bit of detail (and an excellent bibliography) to our own post in a similar vein on the helmet from the Royal Ontario Museum.

Ancient Ratiatum Remains

Laval Hunsucker mentioned this one on the Classics list last month, and it doesn’t appear to have received any English attention (or much French attention, for that matter)… from Ouest France:

Une découverte archéologique majeure, tous les chercheurs en rêvent. Le rêve s’est concrétisé, mi-juin, quand un quai de Loire datant du Ier siècle de notre ère est sorti de terre dans l’antique Ratiatum.
L’histoire

Un quai de Loire parfaitement conservé

Il date environ des années 50 à 70. Donc du Ier siècle de notre ère. Ce quai de Loire sorti de terre, le 15 juin dernier, lors du chantier de fouilles à Rezé, au sud de Nantes, a 2 000 ans. Ophélie de Peretti, archéologue municipale de Rezé, pressentait depuis l’année dernière que la découverte serait belle, « mais pas avec cette ampleur et cet état de conservation ».

Début juin, une équipe d’une quarantaine de chercheurs et étudiants est à pied d’oeuvre pour le chantier de fouilles annuel. « Le 15 juin, on a dégagé une poutre. On a vu que c’était du gros. L’émotion a commencé à monter. Mais on n’imaginait pas une telle chose. » À savoir, un quai fait d’un assemblage de planches de chênes, parfois longues de plus de dix mètres et de plots de pierres assemblées.

« Ce quai, qui mesure au moins 150 mètres, est dans un très bon état de conservation, grâce à la vase et l’eau qui ont préservé le bois de l’altération », poursuit l’archéologue. Les chercheurs présents sur le chantier ce jour-là ont senti qu’ils vivaient quelque chose de rare. « C’est unique en France. »

Quand Rezé était Ratiatum

Cette découverte permet de mieux imaginer un port important, Ratiatum, l’ancien nom latin de Rezé. « C’était la deuxième ville des Pictons », où étaient déchargés les bateaux de ce peuple gaulois. Toutes les marchandises étaient entreposées sous des hangars qui, eux aussi, font l’objet de fouilles.

Depuis 2005, elles sont programmées chaque année avec une équipe de chercheurs pluridisciplinaires de membres de l’Inrap (Institut national de recherche en archéologie préventive) et de l’université de Nantes, notamment de nombreux étudiants, puisque le site de Saint-Lupien est un chantier école. Chaque année, il devient plus lisible pour le grand public.

Quelle mise en valeur ?

Cette découverte pose très directement la question de la mise en valeur du site et du partage avec le public. « Nous avons étudié toutes les techniques possibles, précise Ophélie de Peretti. À l’air libre, au soleil, le quai n’échapperait pas à la détérioration. Il est impossible de le laisser découvert. » Ce quai qui a traversé 2 000 ans d’histoire sera donc bientôt recouvert.

Mais tout n’est pas perdu. Il y a quelques jours, des scientifiques d’Arc’antique, un labo nantais de restauration et de recherche sur les objets d’art, ont littéralement enveloppé une partie du quai de fibres polyester, la fibre de verre dont sont faits certains bateaux. Ils vont ensuite réaliser un moulage, qui pourra permettre de recréer un fac-similé, une reconstitution d’une partie du quai que l’archéologue espère voir un jour installée au Centre d’interprétation du patrimoine que Rezé va construire. Un grand projet pour cette ville de 40 000 habitants, qui veut tout faire pour mettre en valeur son passé antique exceptionnel.

The upshot of the above is that they’ve discovered remains of the docks of the port of Ratiatum (modern Reze), dating to the second half of the first century A.D.. They estimate they’ve found some 150 metres worth of the dock, so clearly this is a major find. There are now concerns on how they might conserve the site (and how much of it). We’ll include the image which goes with the article:

Some background (not much, admittedly):

RATIATUM (Rezé) Loire Atlantique, France. (Princetone Encyclopedia of Classical sites, via Perseus)

Blogging the Nine Days

Tip o’ the pileus to Barnea Levi Selavan who sent this to me a while ago and it was lost (as often) among the myriad emails I wade through. Heddy Abramowitz is blogging the nine days of the destruction of Jerusalem. Scroll to the first post to go ‘day by day’:

Circumundique: August 6-7

This might end up being a daily thing: